Bonjour,
Le 25 octobre 2016 un technicien par erreur me sectionne un câble rj45 de mon installation. Plus de TV. Le lendemain le, secrétariat, de cette société sous-traitante, jointe par téléphone ne peut rien faire et m’oriente à déposer ma réclamation helpdesk technique d’UPC.
Après un ping-pong entre les services administratifs et techniques d’UPC, en passant par l’Afrique du Nord et le Portugal, le résultat est que je reste sur ma fin en dehors d’un geste commercial pour le temps passé d’un mois d’abonnement. Et mon câble, la TV qui ne fonctionne pas, qui m’aide? Je n’ai pas attendu pour faire venir un électricien pour tout me remettre en ordre, mais qui paie encore?
Réponse : le client.
Le sous-traitant est clairement fautif, mais rien n’est fait en amont comme en aval pour remédier au désordre. Donc, le client est pénalisé triplement :
il paie un abonnement dont il ne peut pas jouir,
il doit avancer les fonds et peut-être se faire reprocher d’avoir pas fait selon la procédure et ne pas se faire au pire rembourser,
il engage du temps qui ne lui est pas décompté puisqu’il doit se dépatouiller.
Existe-t-il encore quelqu’un dans la structure pour prendre une décision claire et précise?
J’ai donc pris ma plume et là encore pas de réponse du siège d’UPC. Hier le 16.11.2016 pendant près de trois heures j’ai tenté d’atteindre quelqu’un au 0800 668 866. Toujours le même disque de temps d’attente. Aujourd’hui c’est la même chose.
J’ai envoyé un courriel via le formulaire de contact et toujours pas de réponse. Il doit y avoir foules de réclamations alors?
Franchement, je suis désabusé en constatant le manque de sérieux du technicien qui n’assume même pas son erreur puisqu’il n’en fait même pas mention dans son rapport. Comme tout est numérisé dans mon dossier, je passe pour une personne qui raconte n’importe quoi puisque le pc mentionne une autre histoire.
Je crois que j’en ai assez dit et que je vais malheureusement devoir user de moyens plus coercitifs pour faire valoir mes droits. J’aimerai mieux qu’UPC fasse valoir ses devoirs envers son client plutôt que d’entrer dans une arène. Mais si tel est le jugement du digital alors ce sera virtuel contre factuel.
Bien cordialement et une toute bonne fin de journée.